Auteurs
  • MOURIR EN HÉROS

    Tandis que des soldats canadiens rentrent chez eux à la fin de la Grande Guerre, en novembre 1918, l’épidémie de grippe espagnole fait rage dans le monde entier, et n’épargne pas la Saskatchewan. Forte de la création d’un vaccin pour contrer le mal, la docteure Lesley Richardson travaille maintenant d’arrache-pied à la conception de remèdes pour aider à freiner la propagation fulgurante de la maladie.

    La mort s’invite toutefois dans son laboratoire d’une façon bien différente alors que le décès d’un ancien combattant secoue la ville de Regina. Qu’est-il arrivé à Ryan O’Neil ? Quels secrets auraient pu coûter la vie à ce cordonnier de métier revenu du front avec une jambe en moins ?

    Dans ce deuxième opus, Lesley Richardson et l’enquêteur Morley Vines feront de nouveau équipe pour élucider un mystère qui semble lier la petite et la grande histoire.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette série rend hommage

    $26.95
  • LA PATHOLOGISTE

    Penser comme un homme, agir comme une dame, et travailler comme un chien. Frances G. McGill

    Regina (Saskatchewan), été 1918. Dr. Lesley Richardson vient d’accepter d’être la première femme à occuper le poste de médecin légiste de la province et, déjà, deux affaires requièrent sa science. Samuel, l’apprenti du vieux Larson, a été battu à mort dans sa forge durant la nuit et, le même jour, un fermier a découvert des ossements sur sa terre. D’emblée, on présume que ceux-ci appartiennent à Lionel Sanschagrin, un Métis disparu un an auparavant.

    Mais la curiosité de la « Doc » est piquée : pourquoi le jeune forgeron ne s’est-il pas défendu alors qu’il traînait une réputation de bagarreur ? Où sont les os qui permettraient l’identification formelle du squelette ? Bénéficiant de la complicité de Morley Vines, un enquêteur aussi têtu qu’elle, Lesley devra déployer tout l’art naissant de la médecine légale afin de faire parler les morts.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette fiction rend hommage.

    Ce qu’on en dit

    « Un roman à cheval entre le polar, le roman d’amour […] et le portrait à teneur féministe. » Châtelaine

    « L’attrait principal du roman réside dans la peinture d’une société où Blancs et Métis se côtoient, où la prohibition crée une nouvelle classe de criminels, où “le bois” continue d’attirer les jeunes hommes épris de liberté. Et surtout, une société où les femmes commencent à jouer un rôle plus public, plus officiel, avec toutes les tensions que cela peut entraîner. » Marie Tison, La Presse

    « Un riche personnage de détective, dans un univers finalement assez inédit. Dans la veine des polars historiques […], Tremblay s’attache à faire vivre une docteure Richardson proche de nous malgré la distance. Elle restitue les gestes et les savoirs de la médecin, ses relations complexes avec l’institution judiciaire, et plus généralement l’ambiance des années 1920 dans l’Ouest canadien. » Marie Saur, Lettres québécoises

    « Inspirée par l’histoire de Frances Gertrude McGill, personnalité canadienne remarquable, mais méconnue, l’écrivaine Elisabeth Tremblay a imaginé une captivante intrigue pour le premier tome de sa nouvelle série, Dr Lesley Richardson enquête. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

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  • VERTIGE DE LA LISTE

    Traduit de l’italien par Myriem Bouzaher

    Accumulation, énumération, litanie, inventaire, recensement, nomenclature, répertoire… l’histoire de la littérature et l’histoire de l’art sont pleines de collections de textes et d’objets. En rassemblant toutes sortes de listes, Umberto Eco nous fait découvrir une somme de connaissances sur l’histoire des civilisations. Des parallèles iconographiques originaux avec des artistes connus (Brueghel, Dali, Warhol) ou moins connus accompagnent cette anthologie littéraire de soixante-quinze textes (Dickens, Kipling, Perec, Rimbaud). Chacun des vingt et un chapitres est introduit par un essai d’Umberto Eco. Après Histoire de la beauté et Histoire de la laideur, cette publication ne peut se conclure que sur un… et caetera.

    Quelques-uns des sujets au sommaire :
    • Collections et trésors • Listes de choses • Listes de lieux • L’excès, à partir de Rabelais • L’excès cohérent • Il y a liste et liste • Échanges entre liste pratique et liste poétique • Une liste non normale

    Riche iconographie, livre cartonné avec jaquette

    Ce qu’on en dit

    « L’essai richement illustré […] est un stupéfiant cabinet de curiosités, un capharnaüm qui tient de l’étude théorique, du beau livre et de l’anthologie des textes les plus embouteillés de la littérature occidentale. » Grégoire Leménager et Bernard Géniès, Le Nouvel Observateur

    $69.95
  • HISTOIRE DE LA LAIDEUR

    Traduit de l’italien par Myriem Bouzaher

    En apparence, beauté et laideur sont deux concepts qui s’impliquent mutuellement, et l’on comprend généralement la laideur comme l’inverse de la beauté, si bien qu’il suffirait de définir l’une pour savoir ce qu’est l’autre. Mais les différentes manifestations du laid au fil des siècles s’avèrent plus riches et plus imprévisibles qu’on ne croit.

    Or voici que les extraits d’anthologie ainsi que les extraordinaires illustrations de ce livre nous emmènent dans un voyage surprenant entre les cauchemars, les terreurs et les amours de près de trois mille ans d’histoire, où la répulsion va de pair avec de touchants mouvements de compassion, et où le refus de la difformité s’accompagne d’un enthousiasme décadent pour les violations les plus séduisantes des canons classiques. Entre démons, monstres, ennemis terribles et présences dérangeantes, entre abysses répugnants et difformités qui frôlent le sublime, freaks et morts-vivants, on découvre une veine iconographique immense et souvent insoupçonnée.

    Riche iconographie, livre cartonné avec jaquette

    Ce qu’on en dit

    « Une iconographie d’une richesse absolument extraordinaire ! » René Homier-Roy, Radio-Canada

    $69.95
  • HISTOIRE DE LA BEAUTÉ

    Traduit de l’italien par Myriem Bouzaher

    Qu’est-ce que la Beauté ? Qu’est-ce que l’art, le goût, la mode ? Le Beau est-il quelque chose que l’on peut définir rationnellement, ou s’agit-il d’une appréciation purement subjective ? Ainsi commence l’exploration d’Umberto Eco au cœur de l’esthétique.

    À travers une étude détaillée des plus grandes œvres de la culture occidentale (de la Vénus de Milo jusqu’à la Marilyn d’Andy Warhol en passant par les monstres de Jérôme Bosch, les madones de Botticelli ou les odalisques de Manet), l’auteur dresse un état des lieux complet des multiples facettes de la Beauté, véritable voyage dans le temps de la Grèce antique jusqu’à nos jours. Pour étayer son propos il convoque tous les artistes et penseurs qui ont, chacun à leur façon, tenté de répondre à cette interrogation éternelle.

    Indispensable, ce livre tord le cou à bien des idées reçues et dessine, chapitre après chapitre, une véritable carte du tendre du Beau.

    Plus de 200 toiles de maîtres, livre cartonné avec jaquette

    Ce qu’on en dit

    « La Beauté est un concept sur lequel Umberto Eco réfléchit… de fort belle manière. » Valérie Lessard, Le Droit

    $69.95