Auteurs
  • MOURIR EN HÉROS

    Tandis que des soldats canadiens rentrent chez eux à la fin de la Grande Guerre, en novembre 1918, l’épidémie de grippe espagnole fait rage dans le monde entier, et n’épargne pas la Saskatchewan. Forte de la création d’un vaccin pour contrer le mal, la docteure Lesley Richardson travaille maintenant d’arrache-pied à la conception de remèdes pour aider à freiner la propagation fulgurante de la maladie.

    La mort s’invite toutefois dans son laboratoire d’une façon bien différente alors que le décès d’un ancien combattant secoue la ville de Regina. Qu’est-il arrivé à Ryan O’Neil ? Quels secrets auraient pu coûter la vie à ce cordonnier de métier revenu du front avec une jambe en moins ?

    Dans ce deuxième opus, Lesley Richardson et l’enquêteur Morley Vines feront de nouveau équipe pour élucider un mystère qui semble lier la petite et la grande histoire.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette série rend hommage

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  • LA CONJURATION DES AGNEAUX

    Au palais de Sépahan, Sévrina s’apprête à tuer le shah. La plus douée des agneaux de Dame Marceline attend ce moment depuis cinq ans. Mais le destin l’oblige à saborder sa mission et à repartir en quête de poison avec un Assarbâd prêt à tout pour survivre.

    Au même moment, dans la lointaine vallée du Réal, Florie assiste impuissante au départ de sa sœur. La douce Jélina serait, elle aussi, un agneau qu’on doit mettre à l’abri au Protectoriuil. Intrépide bergère du Dagrab, Florie n’a que faire des ordres ; elle s’élance à la suite de l’escorte dans un périlleux voyage qui la conduit jusqu’à l’abbaye de Marceline. S’agit-il d’un refuge, comme le prétend l’abbesse, ou d’une prison comme le craint Florie ?

    Plus sombre que jamais, l’avenir semble lié à l’ineffable pouvoir des agneaux karakuls. Au cœur des conspirations, victimes de la guerre que mijote le shah, qui pourra leur insuffler la force nouvelle de ramener la lumière en Tessila ?

    Ce qu’on en dit

    « C’est une très bonne conteuse. […] J’ai dévoré le livre en quelques heures. Une plume simple, efficace et entraînante. […] Une série facile à recommander parce qu’elle se lit bien et est bien réalisée. » Raphaëlle B. Adam, Le Cochaux Show

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  • LA PATHOLOGISTE

    Penser comme un homme, agir comme une dame, et travailler comme un chien. Frances G. McGill

    Regina (Saskatchewan), été 1918. Dr. Lesley Richardson vient d’accepter d’être la première femme à occuper le poste de médecin légiste de la province et, déjà, deux affaires requièrent sa science. Samuel, l’apprenti du vieux Larson, a été battu à mort dans sa forge durant la nuit et, le même jour, un fermier a découvert des ossements sur sa terre. D’emblée, on présume que ceux-ci appartiennent à Lionel Sanschagrin, un Métis disparu un an auparavant.

    Mais la curiosité de la « Doc » est piquée : pourquoi le jeune forgeron ne s’est-il pas défendu alors qu’il traînait une réputation de bagarreur ? Où sont les os qui permettraient l’identification formelle du squelette ? Bénéficiant de la complicité de Morley Vines, un enquêteur aussi têtu qu’elle, Lesley devra déployer tout l’art naissant de la médecine légale afin de faire parler les morts.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette fiction rend hommage.

    Ce qu’on en dit

    « Un roman à cheval entre le polar, le roman d’amour […] et le portrait à teneur féministe. » Châtelaine

    « L’attrait principal du roman réside dans la peinture d’une société où Blancs et Métis se côtoient, où la prohibition crée une nouvelle classe de criminels, où “le bois” continue d’attirer les jeunes hommes épris de liberté. Et surtout, une société où les femmes commencent à jouer un rôle plus public, plus officiel, avec toutes les tensions que cela peut entraîner. » Marie Tison, La Presse

    « Un riche personnage de détective, dans un univers finalement assez inédit. Dans la veine des polars historiques […], Tremblay s’attache à faire vivre une docteure Richardson proche de nous malgré la distance. Elle restitue les gestes et les savoirs de la médecin, ses relations complexes avec l’institution judiciaire, et plus généralement l’ambiance des années 1920 dans l’Ouest canadien. » Marie Saur, Lettres québécoises

    « Inspirée par l’histoire de Frances Gertrude McGill, personnalité canadienne remarquable, mais méconnue, l’écrivaine Elisabeth Tremblay a imaginé une captivante intrigue pour le premier tome de sa nouvelle série, Dr Lesley Richardson enquête. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

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  • LA COUPE DE DJAM

    Aux confins de la lointaine colonie de Tessila, deux communautés se partagent tacitement le pouvoir : les Grands-Mères vénérées et la très influente abbesse Marceline. Les desseins que cette dernière nourrit pour les siens sont troublés par la venue d’une étrangère, mandatée par l’empereur du Touram, pour écrire l’histoire de leur peuple. Mydrielle de Biraner est déterminée à affronter tous les périls de ce pays de déserts et de montagnes, où la guettent des voleurs, des assassins et bien d’autres rencontres. Elle doit se rendre jusqu’au Protectoriuil pour y consulter les très anciennes archives sur lesquelles veille Marceline. Car son mandat officiel dissimule une mission mille fois plus périlleuse : sonder le Livre des rois afin de retracer le parcours de la coupe de Djam, objet mythique qui ouvre aux souverains les portes de la connaissance du passé et de l’avenir. Mais ce voyage en terre inconnue pourrait-il ébranler sa loyauté et transformer Mydrielle jusque dans ses certitudes les plus profondes ?

    Ce qu’on en dit

    « Un défi relevé avec brio ! […] C’est du Mylène Gilbert-Dumas pur. » Raphaëlle B. Adam, Cochaux Show

    « Gilbert-Dumas s’impose comme une conteuse chevronnée : son écriture est souple, ses chapitres, rythmés. […] Je souhaite découvrir la suite de cette œuvre à l’imaginaire inspiré et chatoyant. » Ariane Gélinas, Lettres québécoises

    « J’ai énormément aimé. Cet univers est vraiment réussi. C’est vraiment la construction d’un monde. […]. J’ai hâte de lire la suite ! » Anne-Josée Cameron, C’est encore-mieux l’après-midi, ICI Première, Radio-Canada

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  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

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  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

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