Fabrice Luchini est un kaléidoscope, un feu d’artifice, du costaud qui aspire à la légèreté. Comment cet autodidacte, apprenti coiffeur, qui a arrêté l’école à quatorze ans, peut-il maintenant incarner l’esprit et le panache de la langue française ?
Plus qu’un simple autoportrait littéraire, Comédie française est le récit d’une obsession, « la recherche frénétique et pathétique d’une note qui se voudrait être la note parfaite musicale ». Depuis quarante ans, il rumine, reprend, raffine et reprend encore les textes de Céline, La Fontaine et Rimbaud afin de nous les donner à entendre. Son amour des œuvres est contagieux. Après avoir refermé sa Comédie française, le lecteur, ébloui, n’aura qu’une seule envie : courir relire les maîtres qu’il sert et a si bien servis.
Ce qu’on en dit
« On déguste ce livre pour l’amour des mots, la quête de sens, l’humour salvateur. » Odile Tremblay, Le Devoir
« Un livre sincère, touchant, piqueté de fulgurances (souvent, et c’est merveilleux, on l’entend autant qu’on le lit), riche en anecdotes. Et généreux. Très généreux. » Le Figaro
Ce qu’on en dit
« [Un] ouvrage capable de captiver tant le spécialiste que le grand public. » Normand Provencher, Le Soleil
« Un ouvrage superbe, accompagné d’une éblouissante iconographie […] qui se présente sous la forme de dix mini-biographies faisant la part belle à une poignée de ces “remarquables oubliés”… » Louis Hamelin, Le Devoir
« Ces hommes [coureurs de bois] ont laissé une trace profonde, que l’historien s’attache à reconstituer, racontant leurs aventures dans une langue vivante et parfois romanesque. » Philippe Couture, Le Devoir
« Un grand récit ethnographique. » Magazine LIRE
« Après le livre, on n’attend plus que le film, qui serait un anti-western. » Libération
«Les images, les lieux, les hommes, les femmes, les Canayens, les Innus dépeints par [Gilles] Havard et Serge Bourchard, leurs patenteux, leurs aventuriers, resteront dans la mémoire de leurs lecteurs.» Marie-France Bazzo, L’Actualité
« Gilles Havard [offre] au lecteur un récit facile d’accès, vif, plaisant et fourmillant d’anecdotes, sans rien abdiquer cependant de la qualité interprétative qu’on lui connaissait déjà. » Sébastien Jahan, La vie des idées
« Collection d’essais biographiques habilement tissés, L’Amérique fantôme est aussi la démonstration de la proximité entre le meilleur de l’écriture historique et l’art du roman. […] En somme, la richesse des informations partagées dans ce livre savant est réellement stupéfiante et comble de nombreuses lacunes dans les connaissances actuelles . » Benjamin Hoffmann, The Ohio State University