Pour en finir avec la frustration des factures égarées, des aliments gaspillés ou des objets achetés en double, Dominique Loreau nous invite à repenser nos habitudes, bonnes ou mauvaises. Elle fait du rangement un acte de réflexion et de méditation qui simplifie le quotidien et ouvre les portes de sa philosophie : ranger pour désencombrer son esprit, pour consommer moins, pour être plus libre… Dans la deuxième moitié du livre, elle nous enseigne très concrètement à trouver une place logique et pratique pour chaque chose, en suivant les lois des mouvements et de proximité. Elle expose ses techniques de tri et livre ses meilleures astuces (casiers, boîtes transparentes, rangement vertical). « Créer de l’ordre autour de soi pour en ressentir en soi, ne serait-ce pas là le secret du bonheur ? », voilà ce que suggère ce petit guide, en toute simplicité.
Ce qu’on en dit
« L’auteure de L’art de mettre les choses à leur place nous fait voir l’ordre comme une thérapie et un apaisement. L’encombrement nous dévitalise. » Josée Blanchette, Le Devoir
« Dominique Loreau, elle, vraiment, me parlait et me donnait envie de ranger. » Caroline Morin, Plus on est de fous, plus on lit !, Radio-Canada
« Les stratégies proposées et les principes sous-jacents donnent envie d’essayer. » La Presse
« Pour Dominique Loreau, l’ordre est une véritable thérapie et la simplicité volontaire la voie du salut. » Journal 24 Heures
« L’auteur fait du rangement un acte de réflexion et de méditation. […] Voilà ce que suggère ce petit guide en toute simplicité. » Les idées de ma maison
Ce qu’on en dit
« [Un] ouvrage capable de captiver tant le spécialiste que le grand public. » Normand Provencher, Le Soleil
« Un ouvrage superbe, accompagné d’une éblouissante iconographie […] qui se présente sous la forme de dix mini-biographies faisant la part belle à une poignée de ces “remarquables oubliés”… » Louis Hamelin, Le Devoir
« Ces hommes [coureurs de bois] ont laissé une trace profonde, que l’historien s’attache à reconstituer, racontant leurs aventures dans une langue vivante et parfois romanesque. » Philippe Couture, Le Devoir
« Un grand récit ethnographique. » Magazine LIRE
« Après le livre, on n’attend plus que le film, qui serait un anti-western. » Libération
«Les images, les lieux, les hommes, les femmes, les Canayens, les Innus dépeints par [Gilles] Havard et Serge Bourchard, leurs patenteux, leurs aventuriers, resteront dans la mémoire de leurs lecteurs.» Marie-France Bazzo, L’Actualité
« Gilles Havard [offre] au lecteur un récit facile d’accès, vif, plaisant et fourmillant d’anecdotes, sans rien abdiquer cependant de la qualité interprétative qu’on lui connaissait déjà. » Sébastien Jahan, La vie des idées
« Collection d’essais biographiques habilement tissés, L’Amérique fantôme est aussi la démonstration de la proximité entre le meilleur de l’écriture historique et l’art du roman. […] En somme, la richesse des informations partagées dans ce livre savant est réellement stupéfiante et comble de nombreuses lacunes dans les connaissances actuelles . » Benjamin Hoffmann, The Ohio State University