Auteurs
  • UNE VIE SUR NOTRE PLANÈTE

    Depuis des décennies, David Attenborough dévoile et documente le monde sauvage. Dans cet ouvrage, le naturaliste de 95 ans revient sur sa vie exceptionnelle et nous livre un message percutant : nous assistons à l’échelle planétaire à la disparition en accéléré de la biodiversité.

    En contrepoint des 10 dates clés de son parcours, le scientifique relate un siècle d’évolution et brosse, étape par étape, le sombre portrait de cet effondrement. Mais, pour lui, notre sort n’est pas encore scellé. Il propose des solutions à notre portée : opter pour une croissance verte, se convertir aux énergies renouvelables, freiner la déforestation… Il n’en tient qu’à nous de réapprendre à vivre en harmonie avec la nature.

    Avec sagesse et lucidité, Attenborough nous invite à une révolution écologique, fondée sur l’amour que nous portons à notre maison commune, pour assurer la survie des diverses espèces, dont celle de l’humanité.

    Ce qu’on en dit

    « Il raconte des choses absolument incroyables. […] Très, très intéressant ! » Yannick Villedieu, Samedi et rien d’autre

    « Très certainement l’ouvrage le plus humain que j’ai lu sur la question. Aucun prêchi-prêcha. Aucun discours moralisateur ou accusateur. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

    $29.95
  • LES AVIDES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Agnès Espenan

    Un crime horrible sans explication rationnelle: l’enquête du FBI déraille dans ce thriller à couper le souffle.

    Alors qu’il appréhende un meurtrier déchaîné, l’agent Walt Leppo devient inexplicablement violent. Odessa Hardwicke, sa partenaire, n’a alors d’autre choix que de retourner son arme contre lui. La fusillade secoue profondément la jeune femme, mais la présence ténébreuse qu’elle pense avoir vue fuir le corps de son collègue décédé la trouble encore plus. Doutant de sa santé mentale et de son avenir au sein du FBI, Hardwicke accepte une mission apparemment sans envergure : trier les affaires d’Earl Solomon, un retraité du bureau de New York. Parmi les premiers Noirs engagés par l’organisation dans les années 1960, ce dernier a dû intervenir au Mississippi lors de crimes raciaux dont le caractère maléfique résonne étrangement avec ce qu’Hardwicke vient de vivre. Il la met sur la piste d’un mystérieux personnage nommé Hugo Blackwood, un homme aux moyens énormes qui prétend être en vie depuis des siècles et qui est soit un fou furieux, soit le dernier rempart de l’humanité contre un mal indicible.

    $27.95
  • L’EUGÉNIE PRATIQUE

    Eugénie vit à Kotemee, la sympathique petite ville canadienne où elle est née. Son père était chef de police et ses frères travaillent tous deux au poste. Marjorie, sa mère, était vétérinaire, mais elle vient de mourir du cancer. Son mari, Milt, est un homme doux sans grande ambition. Quant à Eugénie, elle se passionne pour la céramique et les délicates sculptures végétales qu’elle crée dans sa boutique-atelier de la rue Principale. Cette petite vie innocente aurait bien pu continuer si sa mère ne lui avait pas demandé de prendre soin d’elle durant les longs mois de son agonie. Après les funérailles, Eugénie regrette de n’avoir su lui épargner une fin si pénible. Dans un élan de compassion, elle décide d’éviter à ses meilleures amies la même déchéance et de leur offrir rien de moins qu’une mort parfaite. Car, n’en déplaise à son entourage, la sensibilité et l’altruisme d’Eugénie se doublent d’un certain sens pratique…

    Parmi les meilleurs livres de l’année selon le Globe and Mail

    Ce qu’on en dit

    « L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce

    « Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine

    « Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises

    Prix

    Prix de l’humour Stephen-Leacock

    $9.95