Été 1665. Le régiment de Carignan-Salières arrive en Nouvelle-France. Marie LaFlamme, qu’on surnomme « la Renarde », assiste au débarquement et reconnaît parmi les soldats Simon Perrot, son amour de jeunesse. Vient-il pour elle, alors qu’il la sait remariée, ou pour son trésor, resté enfoui en Bretagne ? La présence de Simon fait resurgir son passé trouble : la condamnation de sa mère pour sorcellerie, son mariage forcé à Nantes, les soupçons de meurtre qui pèsent sur elle et son départ clandestin pour la Nouvelle-France. En dépit de sa légendaire force de caractère, elle sait déjà qu’elle ne pourra lui résister, une tentation que Simon saura exploiter.
Dans le dernier volet de cette grande trilogie, Chrystine Brouillet poursuit son portrait du quotidien épique dans les colonies du XVIIe siècle. Sur fond d’intrigues amoureuses et de guerre contre les Iroquois, La Renarde conclut remarquablement les aventures de cette héroïne hors du commun.
Nouvelle édition, format poche
Ce qu’on en dit
« Avec sa trilogie, Christine Brouillet a voulu “rendre hommage à ces femmes disparues sur les bûchers de Nantes et d’ailleurs, à tous ces gens aussi qui ont eu le courage de traverser jusqu’en Nouvelle-France et dont Marie LaFlamme est une illustration flamboyante”. » Aurélien Boivin, Québec français
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises