LA BIOGRAPHIE DU PLUS GRAND JOUEUR DE TENNIS
DE NOTRE ÉPOQUE !
Roger Federer est une icône contemporaine. Son palmarès, ses records et son attitude sur le terrain comme dans la vie ont fait de lui un modèle pour une génération de fans à travers le monde. Son style de jeu, tout en légèreté et en finesse, a redéfini les bases du tennis et lui a souvent valu d’être comparé à un danseur classique ou à un virtuose. Derrière cette perfection se cache un champion de la maîtrise de soi, un exemple d’esprit sportif qui a su dompter ses démons intérieurs d’adolescent nerveux et colérique.
Christopher Clarey a suivi sa carrière de Johannesburg à Dubaï en passant par Montréal, Londres, New York, Melbourne et Paris, mais il l’a aussi rencontré à bord d’un jet privé au-dessus du désert californien ou encore à la terrasse d’un grand hôtel avec une vue imprenable sur le lac de Zurich. Il a recueilli pendant plus de vingt ans des interviews exclusives de Federer, mais également des membres de son équipe, de ses proches et de ses rivaux historiques – Nadal, Djokovic, Sampras, Safin et Roddick.
Clarey nous livre ici une biographie de référence, un récit intime qui dévoile les clés ayant permis à un jeune tennisman suisse prometteur de devenir l’athlète le plus adulé de la planète.
Ce qu’on en dit
« Un livre humain. » Thérèse Parisien, Les week-ends de Paul Houde, 98,5 FM
« Un livre extraordinaire. Ça se lit comme un roman ! » Michel Picard, Le Retour, 94,5 Unique FM
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises