Auteurs
  • L’ATELIER DES BOUQUETS

    Photos de Julia C. Vona

    Cédez au charme des fleurs fraîches, sortez des sentiers battus et donnez à votre décor un peu d’éclat et de modernité. Pour transmettre sa passion, Carmel ouvre les portes de son atelier. Elle explique les grands principes de ses arrangements : le choix des vases ; l’harmonisation des couleurs, des formes et des textures ; l’art de mélanger les fleurs que l’on achète avec les plantes que l’on glane. Dans une ruelle ou sur le bord d’une route, dans un jardin ou sur un balcon, en ville ou à la campagne, l’auteure a développé son style en personnalisant ses créations avec des branches d’arbres fruitiers, quelques graminées et fleurs sauvages, une gerbe de lilas, une tige de clématite… De mai à octobre, Carmel détaille une quarantaine de bouquets qui sont autant d’exemples inspirants. Elle propose aussi de confectionner soi-même des couronnes pour la tête ou la maison, de petites boutonnières ou une grande table festive, et met de l’avant des producteurs locaux. Au fil des pages, l’envie d’explorer, de cueillir, de créer et de fleurir notre intérieur se fait de plus en plus pressante.

    Ce qu’on en dit

    « Talentueuse et soucieuse des moindres détails Carmel redéfinit le métier de fleuriste. Loin des bouquets guindés et statiques, elle crée plutôt des ambiances florales, délicates et complexes, harmonieuses et urbaines avec ses insertions de fleurs, de branches et de feuillages dénichés dans les ruelles de son quartier. » Vanessa Sicotte, Damask & Dentelle

    « On oublie immédiatement le temps maussade des derniers jours en ouvrant ce magnifique livre où les photos des bouquets sont si belles qu’on a l’impression de respirer leur parfum ! […] Voici un ouvrage vraiment inspirant qui nous sera très utile dès les premiers jours du printemps ! » Christine Brouillet, Salut, bonjour ! week-end

    « L’atelier des bouquets tient autant du beau livre que du guide
    pratique. » Alexandra Perron, Le Soleil

    « J’ai savouré ce magnifique livre qui donne envie de partir sur-le-champ ramasser des branches dans les ruelles, dans son jardin, dans sa boîte à fleurs pour se faire de jolis bouquets. » Lise Gobeille, Le Devoir

    $24.95
  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

    $26.95
  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

    $26.95
  • EN LIBRE ÉQUILIBRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier

    Dans cette autobiographie, Margaret Trudeau parle avec candeur de la maladie qui a silencieusement façonné sa vie tumultueuse. En proie dès l’enfance à de fréquentes sautes d’humeur, Margaret était mal préparée, à vingt-deux ans, au rôle de première dame du Canada. Séduits par sa jeunesse et sa beauté, les Canadiens en sont tombés amoureux, tout comme ils avaient été charmés par son mari, le très charismatique Pierre Elliott Trudeau. Avec les naissances de Justin et de Sacha, le couple paraissait béni des dieux. Cependant, à l’écart des apparitions publiques, Margaret était aux prises avec de graves épisodes dépressifs entrecoupés de crises de manie. Ce comportement inexplicable — y compris pour elle-même — a conduit, deux ans après la naissance de Michel, à la séparation du couple. Puis, graduellement, un fragile équilibre s’est installé, Margaret trouvant le bonheur dans son mariage avec Fried Kemper. En 1998, la mort tragique de Michel, suivie peu après par le décès de Pierre, la plonge dans une insoutenable dépression. La science ayant progressé dans sa compréhension du trouble bipolaire, Margaret peut enfin accepter ce diagnostic et apprendre à vivre avec sa maladie.

    Plus de 100 photos

    Ce qu’on en dit

    « Ce livre-là m’a renversée. Margaret Trudeau nous livre une description poignante de la bipolarité. » Nathalie Petrowski, Radio-Canada

    « La vie n’est pas un conte de fées, mais on peut trouver du réconfort, un guide et même du courage à se laisser conter une vraie vie comme celle-ci. » Monique Polak, The Gazette

    « Margaret Trudeau lève le voile sur une vie marquée par la maladie mentale et raconte son équilibre retrouvé. » L’actualité

    $29.95