Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Thibaud Eliroff
Une nuit, Annie a disparu. Tout le monde imaginait le pire. Et puis, miraculeusement, après quarante-huit heures, l’enfant est revenue. Mais elle ne pouvait pas – ou ne voulait pas – dire ce qui s’était passé. Pour son frère Joe, le pire jour de sa vie ne fut pas celui de sa disparition, mais bien plutôt celui de son retour…
Des années plus tard, Joe Thorne, la quarantaine, reçoit un courriel énigmatique – « Je sais ce qui est arrivé à votre sœur. » Bien malgré lui, il retourne dans son village natal du Nottinghamshire et se fait embaucher comme professeur d’anglais sur la base d’une fausse lettre de recommandation.
Ce qu’on en dit
Quatre étoiles sur cinq. « Un thriller étonnant. […] Chapitre après chapitre, avec une tension dramatique qui ne faiblit jamais, l’auteur ménage le suspense. […] L’épilogue à glacer le sang de cette histoire qui plonge dans l’horreur et le surnaturel (sans les habituels épanchements d’hémoglobine) est sans ambiguïté : La disparition d’Annie Thorne est une œuvre à ranger dans la catégorie “ roman fantastique ” ! Excellent ! » Norbert Spehner, page Facebook
« UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Une histoire particulièrement bien menée qui […] ne manque pas de rappeler les meilleurs Stephen King des années 1980. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal
« Digne des meilleurs maîtres du genre. » Norbert Spehner, La Presse
« Je n’avais pas lu un polar aussi prenant, malin et divertissant depuis longtemps. Vivement recommandé ! » Maxime Chattam
« Si vous aimez mes livres, vous aimerez ceux de C.J. Tudor. » Stephen King
Ce qu’on en dit
« 52 soupes qui fleurent bon le bouillon maison, les tomates de septembre, le fumet de porcinis, le bouquet de kale. Des légumes à foison, des garnitures, des à-côtés, de magnifiques photos, tout y est ! » Josée Blanchette, Le Devoir
« À la soupe est un ouvrage beau, généreux, plein de recettes simples et réconfortantes qui sont presque toutes [l]es versions [de Josée] de classiques qu’on connaît et qu’on aime. Il y a toujours sa touche personnelle : le gingembre dans le potage de courge, la moutarde de Dijon dans la crème de chou-fleur. » Susan Schwartz, Montreal Gazette