Auteurs
  • LA COULEUR DU TEMPS

    Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Clotilde Meyer et Lucie Modde

    Et l’Histoire reprend vie… C’est un récit continu qui nous emmène de la guerre de Crimée à la guerre froide, de l’âge de la vapeur à la conquête spatiale, de l’ère des empires à celle des superpuissances. C’est une scène où dansent titans et tyrans, meurtriers et martyrs, inventeurs et futurs destructeurs de monde, où hommes et femmes retrouvent leur place.

    Et le lecteur est saisi : les clichés qu’il croyait connaître acquièrent une dimension tout autre, presque troublante. Ceux qu’il découvre bouleversent sa vision et altèrent son regard sur les grands événements des cent années ayant présidé au monde qui est le nôtre. Les couleurs nuancées, variées, riches d’une gamme infinie de teintes soigneusement choisies infléchissent les portraits, les photos de foules, de guerres, de désastres, de libérations et de célébrations…

    Ce qu’on en dit

    « Un album à la fois magnifique et instructif. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

    *** ½ « Retrouver le concret, le pittoresque de l’histoire, pour la rendre charnelle, la toucher, voilà le défi qu’ils ont magnifiquement relevé. » Michel Lapierre, Le Devoir

    « Lire les 432 pages du livre, c’est faire un extraordinaire voyage dans le temps générant une profonde réflexion sur la nature humaine, sa grandeur et ses misères. » Jean-François Crépeau, Le Canada Français

    « Le résultat est magnifique ! C’est comme si le noir et blanc n’avait jamais existé. » Catherine Brisson, Puisqu’il faut se lever, 98,5 Montréal

    « Dan Jones est un bon vulgarisateur, mais aussi un historien sérieux et fiable. Il est rare de trouver un érudit si facile à lire. » The Times

    « Dan Jones restitue avec un art consommé de la synthèse à la fois l’enchaînement des événements et l’esprit du temps auquel renvoient les images. […] La couleur du temps est un livre à lire autant qu’à regarder. » Yvon Poulin, Nuit blanche

    $49.95
  • L’ AMÉRIQUE FANTÔME

    Durant trois siècles, le territoire nord-américain a vu se tisser une longue trame de rencontres et de métissages entre Amérindiens et coureurs de bois, interprètes ou trappeurs francophones. Occultée par la narration officielle et l’imaginaire des westerns, la mémoire de ces aventuriers fantômes dessine dans ce livre une autre version de l’histoire de l’expansion européenne. Les rapports entre autochtones et non-autochtones qui s’y dévoilent compliquent et enrichissent notre vision de la colonisation et du contact des cultures. Gilles Havard a passé dix ans à exhumer des artefacts, interroger des descendants, décortiquer des archives, pour reconstituer le récit biographique de dix de ces « hommes libres » au parler français. Parmi eux, citons Étienne Brûlé, premier Européen à explorer les Grands Lacs et souvent qualifié de fondateur de l’Ontario ; Pierre-Esprit Radisson, qui a lui-même raconté ses aventures avec les Indiens du Canada ; les frères La Vérendrye, qui participèrent à l’exploration française des Grandes Plaines ; Toussaint Charbonneau, qui accompagna l’expédition transcontinentale de Lewis et Clark ; et Pierre Beauchamp, qui vécut parmi les Arikaras et dont le fils se tient aux côtés du chef Son of the Star sur la couverture de ce livre.

    « Pour relater cette histoire à travers le destin d’une sélection de personnages hors du commun, il fallait un auteur à l’écriture alerte et limpide, une personne sagace douée d’une capacité d’analyse supérieure et d’une curiosité insatiable […]. Gilles Havard était l’historien tout désigné pour accomplir ce tour de force. »
    Robert Vézina, préfacier, linguiste, ex-P.-D.G. de l’OLF et ex-président du Conseil supérieur de la langue française

    Ce qu’on en dit

    « [Un] ouvrage capable de captiver tant le spécialiste que le grand public. » Normand Provencher, Le Soleil

    « Un ouvrage superbe, accompagné d’une éblouissante iconographie […] qui se présente sous la forme de dix mini-biographies faisant la part belle à une poignée de ces “remarquables oubliés”… » Louis Hamelin, Le Devoir

    « Ces hommes [coureurs de bois] ont laissé une trace profonde, que l’historien s’attache à reconstituer, racontant leurs aventures dans une langue vivante et parfois romanesque. » Philippe Couture, Le Devoir

    « Un grand récit ethnographique. » Magazine LIRE

    « Après le livre, on n’attend plus que le film, qui serait un anti-western. » Libération

    «Les images, les lieux, les hommes, les femmes, les Canayens, les Innus dépeints par [Gilles] Havard et Serge Bourchard, leurs patenteux, leurs aventuriers, resteront dans la mémoire de leurs lecteurs.» Marie-France Bazzo, L’Actualité

    « Gilles Havard [offre] au lecteur un récit facile d’accès, vif, plaisant et fourmillant d’anecdotes, sans rien abdiquer cependant de la qualité interprétative qu’on lui connaissait déjà. » Sébastien Jahan, La vie des idées

    « Collection d’essais biographiques habilement tissés, L’Amérique fantôme est aussi la démonstration de la proximité entre le meilleur de l’écriture historique et l’art du roman. […] En somme, la richesse des informations partagées dans ce livre savant est réellement stupéfiante et comble de nombreuses lacunes dans les connaissances actuelles . » Benjamin Hoffmann, The Ohio State University

    Prix

    Lauréat du prix Champlain 2020, décerné par l’Académie de Saintonge.

    $45.95
  • LA DISPARITION D’ANNIE THORNE

    Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Thibaud Eliroff

    Une nuit, Annie a disparu. Tout le monde imaginait le pire. Et puis, miraculeusement, après quarante-huit heures, l’enfant est revenue. Mais elle ne pouvait pas – ou ne voulait pas – dire ce qui s’était passé. Pour son frère Joe, le pire jour de sa vie ne fut pas celui de sa disparition, mais bien plutôt celui de son retour…

    Des années plus tard, Joe Thorne, la quarantaine, reçoit un courriel énigmatique – « Je sais ce qui est arrivé à votre sœur. » Bien malgré lui, il retourne dans son village natal du Nottinghamshire et se fait embaucher comme professeur d’anglais sur la base d’une fausse lettre de recommandation.

    Ce qu’on en dit

    Quatre étoiles sur cinq. « Un thriller étonnant. […] Chapitre après chapitre, avec une tension dramatique qui ne faiblit jamais, l’auteur ménage le suspense. […] L’épilogue à glacer le sang de cette histoire qui plonge dans l’horreur et le surnaturel (sans les habituels épanchements d’hémoglobine) est sans ambiguïté : La disparition d’Annie Thorne est une œuvre à ranger dans la catégorie “ roman fantastique ” ! Excellent ! » Norbert Spehner, page Facebook

    « UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Une histoire particulièrement bien menée qui […] ne manque pas de rappeler les meilleurs Stephen King des années 1980. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Digne des meilleurs maîtres du genre. » Norbert Spehner, La Presse

    « Je n’avais pas lu un polar aussi prenant, malin et divertissant depuis longtemps. Vivement recommandé ! » Maxime Chattam

    « Si vous aimez mes livres, vous aimerez ceux de C.J. Tudor. » Stephen King

    $29.95
  • L’HOMME CRAIE

    « Le problème, c’est que nous n’avons jamais réussi à nous mettre d’accord sur le début. Est-ce quand Gros Gav a reçu le seau de craies pour son anniversaire ? Est-ce quand nous nous sommes mis à nous en servir pour dessiner des bonshommes ? Ou quand ils ont commencé à apparaître d’eux-mêmes ? Est-ce le terrible accident ? Ou quand on a retrouvé le premier cadavre ? »

    Alternant habilement le passé et le présent, L’Homme craie s’inscrit parmi les très grands thrillers. Les personnages ont tous leur part d’ombre, chaque énigme est astucieusement dénouée et les nombreux rebondissements déjoueront les lecteurs les plus perspicaces.

    Ce qu’on en dit

    « UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Diabolique à souhait, l’histoire de L’homme craie ne s’effacera pas de votre esprit d’un simple coup de brosse. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Les lecteurs se rappelleront certainement des gamins de Stand by Meet même de It. […] Un premier roman vif, astucieusement mené, qui capte habilement l’ambiance insulaire plutôt sinistre d’un petit village. Une nostalgie que goûteront les enfants des années 1980. » Kirkus Reviews

    « Une histoire pour le moins insolite et originale. » Norbert Spehner, La Presse

    « Ce brillant premier roman s’impose d’abord par la qualité de son écriture (et de sa traduction, il faut le souligner) qui réussit à créer un climat de tension étonnant rappelant les plus grands maîtres du genre… » Michel Bélair, Le Devoir

    $9.95