Auteurs
  • WAYWARD PINES – 2

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Nichée au cœur d’un paysage de carte postale, la petite ville de Wayward Pines, Idaho, apparaît comme un nouvel éden â?? si l’on fait abstraction de la clôture électrique et des tireurs embusqués qui en interdisent l’accès, ainsi que de la surveillance implacable que les autorités exercent sur les résidents. Aucun d’eux ne sait comment il est arrivé là. On leur dit où travailler, comment vivre, avec qui se marier. Tous rêvent secrètement de s’évader, mais ceux qui osent le faire sont confrontés à une terrifiante surprise. Ethan Burke a vu le monde en dehors de Wayward Pines, et il est revenu. À présent, c’est lui le shérif, l’un des rares à connaître l’effroyable vérité : Wayward Pines est bien plus qu’une simple ville. Et le monde au-delà est un cauchemar qui défie l’imagination.

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  • WAYWARD PINES – 1

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Lorsque Ethan Burke se réveille, il ne sait plus qui il est ni où il se trouve. Puis les souvenirs lui reviennent peu à peu : agent des services secrets américains, il est venu dans la petite ville de Wayward Pines, au fin fond de l’Idaho, pour enquêter sur la disparition de deux collègues. Mais, en arrivant, il a eu un accident de voiture.

    Ses blessures sont superficielles, alors pourquoi ne veut-on pas le laisser sortir de l’hôpital ? Pourquoi le shérif, franchement hostile, refuse-t-il de lui rendre son portefeuille et ses affaires ? Et pourquoi Ethan ne peut-il joindre personne à l’extérieur de Wayward Pines ?

    Ce qu’on en dit

    « Stephen King m’effraie avec ce qu’il écrit. Blake Crouch m’effraie avec ce qu’il me laisse imaginer. » The Toronto Sun

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  • FILM NOIR À ODESSA

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    URSS, 1937 – L’inspecteur Korolev, des affaires criminelles, est tiré du lit en pleine nuit, à l’heure où un citoyen peut craindre de partir pour ne plus jamais revenir. C’est à Odessa, en mission confidentielle, qu’on l’envoie pour enquêter sur le présumé suicide d’une jeune femme un peu trop liée à un haut dirigeant du Parti. Korolev débarque dans une Ukraine ravagée par les politiques de Staline, décor parfait pour La Prairie ensanglantée, le film scénarisé par son ami Babel. Bien malgré lui, il se retrouve aussi mêlé aux embrouilles du « roi des Voleurs » de Moscou. Il lui faudra tout son sang-froid, et l’aide d’une jeune inspectrice de la Milice d’Odessa, pour démasquer les vrais ennemis de la Révolution sans y laisser sa peau.

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    Ce qu’on en dit

    « Ryan nous entraîne au cœur d’une intrigue riche en suspense avec un personnage vulnérable et sympathique. » Norbert Spehner, La Presse

    « L’œuvre qu’est en train de construire William Ryan vaut vraiment le détour. » Catherine Lachaussée, Radio-Canada

    « En plus de réussir à nous tenir en haleine jusqu’à la fin, il nous permet de comprendre ce que les Ukrainiens ont vécu sous le régime stalinien. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

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  • LE ROYAUME DES VOLEURS

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    MOSCOU, 1936 – À l’aube des Grandes Purges de Staline, le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé sur l’autel d’une église désaffectée. L’inspecteur Korolev, chef de la 4×4 foot jeux de sport section criminelle de la Milice locale, est chargé d’enquêter. Mais dès qu’il comprend que la victime était américaine, le NKVD, la très redoutée police secrète, s’en mêle, épiant ses moindres gestes. Résolu à tout risquer pour découvrir qui se cache derrière ce crime effroyable, Korolev pénètre dans le royaume des Voleurs, ces individus qui règnent sur la pègre moscovite et semblent les seuls à défier le joug du Parti.

    À mesure que d’autres corps sont découverts, la pression venue d’en haut s’accentue et Korolev ne peut que se demander qui sont les véritables criminels dans cette Union soviétique où prédominent la peur, la faim et l’incertitude.

    Site de l’auteur

    Ce qu’on en dit

    « Cette première enquête de l’inspecteur Korolev plonge le lecteur dans l’atmosphère de conjuration qui baigne le Moscou des années 1930. » The Independent

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  • FAIRE FACE AU CANCER

    Remède littéraire
    Recommandé par les professionnels
    du CHU de Québec-Université Laval

    Préface du Dr Pierre Audet-Lapointe, fondateur de la Coalition Priorité au Cancer au Québec

    « Pour guérir, je dois être toujours positif et je n’y arrive pas ! » La pensée positive en vogue ces dernières années ouvre la porte à la culpabilisation et à bien d’autres émotions négatives. Prenant le contrepied de cette approche, Josée Savard propose d’aborder le cancer suivant la pensée réaliste qui favorise l’adaptation de la personne à la maladie en l’amenant à percevoir sa situation telle qu’elle est, tout en espérant que le meilleur survienne. Cette approche est basée sur les préceptes de la thérapie cognitive-comportementale, celle qui a reçu le plus de preuves scientifiques quant à son efficacité.

    Tous les aspects psychologiques liés au diagnostic et au traitement du cancer sont analysés en profondeur : la culpabilité et la dépression, l’anxiété et la peur de la récidive, la colère, l’insomnie, la fatigue et la peur de la mort. L’auteur offre des stratégies concrètes et des conseils pratiques afin de diminuer la détresse psychologique et d’améliorer la qualité de vie.

    Ce qu’on en dit

    « Un immense pavé dans la mare d’une théorie qui a fait de nombreux adeptes. » Denis Méthot, L’actualité médicale

    « Des stratégies pratiques pour s’adapter à la maladie. » Sophie Allard, La Presse

    « Enfin. Pas la pensée positive, la pensée réaliste ! Merci ! » Christiane Charette, Radio-Canada

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