Auteurs
  • LA TÊTE DE L’EMPLOI

    À 50 ans, Bernard se voyait bien parti pour mener la même vie tranquille jusqu’à la fin de ses jours. Mais parfois l’existence réserve des surprises… De catastrophe en loi des séries, l’effet domino peut balayer en un clin d’œil le château de cartes de nos certitudes. Et le moins que l’on puisse dire est que cet homme ordinaire, sympathique au demeurant, n’est pas armé pour affronter ce qui l’attend. Il va devoir traverser ce roman drôle et mélancolique pour tenter de retrouver sa place dans un monde en crise.

    Ce qu’on en dit

    « Toute la richesse de la plume de David Foenkinos, sa grande humanité, sa manière unique de décrire le quotidien se retrouvent dansLa tête de l’emploi, un roman superbe où le tragique et le comique s’imbriquent à la perfection. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

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  • FILM NOIR À ODESSA

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    URSS, 1937 – L’inspecteur Korolev, des affaires criminelles, est tiré du lit en pleine nuit, à l’heure où un citoyen peut craindre de partir pour ne plus jamais revenir. C’est à Odessa, en mission confidentielle, qu’on l’envoie pour enquêter sur le présumé suicide d’une jeune femme un peu trop liée à un haut dirigeant du Parti. Korolev débarque dans une Ukraine ravagée par les politiques de Staline, décor parfait pour La Prairie ensanglantée, le film scénarisé par son ami Babel. Bien malgré lui, il se retrouve aussi mêlé aux embrouilles du « roi des Voleurs » de Moscou. Il lui faudra tout son sang-froid, et l’aide d’une jeune inspectrice de la Milice d’Odessa, pour démasquer les vrais ennemis de la Révolution sans y laisser sa peau.

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    Ce qu’on en dit

    « Ryan nous entraîne au cœur d’une intrigue riche en suspense avec un personnage vulnérable et sympathique. » Norbert Spehner, La Presse

    « L’œuvre qu’est en train de construire William Ryan vaut vraiment le détour. » Catherine Lachaussée, Radio-Canada

    « En plus de réussir à nous tenir en haleine jusqu’à la fin, il nous permet de comprendre ce que les Ukrainiens ont vécu sous le régime stalinien. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

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  • SAINTE FAMILLE

    Anne Marie Lecomte doit à Margaret Atwood ce premier livre. La grande dame de la littérature, en écoutant la journaliste et mère de famille qui désespérait d’écrire, lui a fourni la clé : « Si vous n’avez pas le temps d’écrire de courtes histoires, écrivez de TRÈS COURTES histoires. » Des histoires, elle en a plein son quotidien : un bungalow « tout à l’envers », un homme « tout à l’endroit », deux enfants et autant de chats. Des caprices de la femme de ménage aux expériences explosives du fiston, des innombrables soupirs aux fous rires plus nombreux encore, Anne Marie tisse au fil de ces petites histoires un portrait irrésistible et touchant de sa sainte famille. On sympathise, on rigole, on se fait du bien en la lisant… et en la relisant !

    Ce qu’on en dit

    « Les chroniques d’Anne Marie Lecomte vous font sourire ? Son recueil vous fera hurler de rire. » Sylvie Galipeau, La Presse

    « Sans prétention, écrit dans un style rafraîchissant, avec humour et sensibilité, les parents se retrouvent indéniablenment dans ces tranches de vie. » Claudia Larochelle, Le Journal de Montréal

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  • LE ROYAUME DES VOLEURS

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    MOSCOU, 1936 – À l’aube des Grandes Purges de Staline, le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé sur l’autel d’une église désaffectée. L’inspecteur Korolev, chef de la 4×4 foot jeux de sport section criminelle de la Milice locale, est chargé d’enquêter. Mais dès qu’il comprend que la victime était américaine, le NKVD, la très redoutée police secrète, s’en mêle, épiant ses moindres gestes. Résolu à tout risquer pour découvrir qui se cache derrière ce crime effroyable, Korolev pénètre dans le royaume des Voleurs, ces individus qui règnent sur la pègre moscovite et semblent les seuls à défier le joug du Parti.

    À mesure que d’autres corps sont découverts, la pression venue d’en haut s’accentue et Korolev ne peut que se demander qui sont les véritables criminels dans cette Union soviétique où prédominent la peur, la faim et l’incertitude.

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    Ce qu’on en dit

    « Cette première enquête de l’inspecteur Korolev plonge le lecteur dans l’atmosphère de conjuration qui baigne le Moscou des années 1930. » The Independent

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