Inspirée par les souvenirs de sa grand-mère, rescapée de l’Holocauste, Catherine Shvets prête voix dans ses nouvelles à des êtres égarés dans la folie de la haine. En contrepoids aux déclarations immondes du Führer placées en exergue, son écriture délicatement lucide explore les chemins de la désolation : l’autodafé des livres d’une synagogue, les rafles de la Gestapo, les adieux sur le quaiÂ?. Devant ces horreurs, la figure récurrente de la fillette demeure la conscience vivante d’une situation privée de sens. La jeune écrivaine s’attarde à de petits actes miraculeux qui transforment et sauvent des vies : tendre un bol de soupe chaude, un bonbon, une poupée. Car, par-delà les destins brisés, ces quinze récits sont autant d’échappées de lumière.
Ce qu’on en dit
« Un livre remarquable, admirable, inclassable. Une pièce d’orfèvrerie. » Danielle Laurin, Le Devoir
« Catherine Shvets fait preuve d’une concision rare, tant elle est capable d’esquisser en quelques pages des moments puissants et évocateurs […]. Il fallait de l’audace, et on est curieux pour la suite. » Chantal Guy, La Presse
Ce qu’on en dit
« Qu’est-ce que le rangement KonMari a de différent de tous les autres? C’est très simple, il n’est pas culpabilisant et il n’avance pas l’idée qu’il n’y a qu’une seule façon de vivre une relation épanouissante avec le matériel. » Marcia Pilote
« Saviez-vous qu’une pièce bien rangée permet au cerveau de mieux se concentrer ? C’est ce que nous apprend, entre autres, le livre de l’auteure japonaise Marie Kondo. » Coup de cœur d’Anne-Lovely Étienne, 24 Heures