Auteurs
  • LA FILLE QUI AIMAIT LES SCIENCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Lucile Débrosse

    Ce livre est une multitude. Il est une célébration du génie végétal qui changera à jamais votre façon de voir le monde. Il est le témoignage autobiographique intime et passionné d’une femme qui s’est battue pour devenir ce qu’elle est et s’imposer comme scientifique dans un monde dominé par les hommes. Il est aussi le portrait émouvant d’une indé-fectible amitié entre deux êtres surdoués et fragiles. La géobiologiste Hope Jahren y retrace son parcours, de ses premiers jeux dans le laboratoire de son père au Minnesota jusqu’à ses voyages de terrain avec Bill, son fidèle et brillant collègue, à travers les États-Unis, l’Irlande et la Norvège. Les histoires qu’elle raconte sont des preuves que la curiosité, le travail et l’enthousiasme peuvent déplacer des montagnes.

    Viscéral, lumineux et plein d’humour, c’est un plaidoyer pour l’environnement sous forme d’invitation à l’émerveillement et à la connaissance.

    « Chacun de nous est à la fois impossible et inévitable. Chaque arbre majestueux a d’abord été une simple graine qui a su attendre son heure. »

    VIDÉO : Hope Jahren nous parle de son livre

    Ce qu’on en dit

    « En racontant son expérience personnelle, mine de rien, elle touche à des enjeux sociaux comme la place des femmes dans la science. » Marie-Louise Arsenault, Plus on est de fous, plus on lit !

    « Hope Jahren est la voix que la science attendait… claire, convaincante et sans compromis. » Nature

    « Sincère, drôle, brillant. […] Jahren fait du genre autobiographique quelque chose de remarquable. » The Washington Post

    « Le grand plus de ce livre, c’est qu’il nous permet surtout d’en apprendre énormément sur les plantes et les arbres sans que ce soit pénible ou ennuyeux. Au contraire. L’un des récits autobiographiques les plus originaux qu’il nous ait été donné de lire. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Un livre passionnant, servi par une écriture d’une grande limpidité et d’une grande accessibilité, souvent même portée par un souffle poétique. […] Remarquable à tous égards. » Yvon Poulin, Nuit blanche

    $29.95
  • ENTRE LA JEUNESSE ET LA SAGESSE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Rachel Martinez

    Anna et Jane McGarrigle, les sœurs de Kate, tantes de Rufus et de Martha Wainwright, racontent l’histoire de la famille de musiciens la plus talentueuse qui soit : un clan qui rythme nos vies depuis cinquante ans. Évoquant les aventures de leurs ancêtres entre Saint John (N.-B.) et Montréal, elles se remémorent leur enfance à Saint-Sauveur et leur adolescence tumultueuse dans le Québec des années 1950. Elles nous entraînent à Montréal, New York, San Francisco, sur les scènes bigarrées de la musique folk des années 1960 ; pour aboutir à l’inoubliable duo formé par Kate et Anna. Aussi hommage à Kate, décédée en 2010, l’ouvrage permet de cerner la personnalité de cette artiste exceptionnelle. Émaillé de chansons et de photos, ce récit prolonge l’œuvre de ces femmes libres.

    Cahier photos

    Ce qu’on en dit

    « Une saga familiale, la jeunesse de trois femmes incroyables, des tranches de l’histoire canadienne : ce livre est un triple régal. Ajoutez la musique et l’humour, c’est formidable. Merci, ladies, vous vous êtes surpassées ! » Rufus Wainwright

    « Kate et Anna McGarrigle habitaient Saint-Sauveur, mais c’est dans le Vieux-Montréal qu’on a eu nos premiers éclats de rire, autour d’un piano et d’une guitare. […] C’est un bonheur de faire partie de cette famille où règne l’amour de la musique. » Robert Charlebois

    « Un récit magnifique. […] Merci pour la mémoire ! » Monique Giroux, Chants libres à Monique, Ici Musique

    « Deux femmes généreuses dotées d’un extraordinaire sens de l’humour et d’un don pour raconter les histoires. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « On sent qu’elles ont mis beaucoup de cœur dans ce livre. […] On entend l’époque ! » Franco Nuovo, Dessine-moi un dimanche, Ici Radio-Canada Première

    $34.95
  • HITLER ET LA FILLETTE

    Inspirée par les souvenirs de sa grand-mère, rescapée de l’Holocauste, Catherine Shvets prête voix dans ses nouvelles à des êtres égarés dans la folie de la haine. En contrepoids aux déclarations immondes du Führer placées en exergue, son écriture délicatement lucide explore les chemins de la désolation : l’autodafé des livres d’une synagogue, les rafles de la Gestapo, les adieux sur le quaiÂ?. Devant ces horreurs, la figure récurrente de la fillette demeure la conscience vivante d’une situation privée de sens. La jeune écrivaine s’attarde à de petits actes miraculeux qui transforment et sauvent des vies : tendre un bol de soupe chaude, un bonbon, une poupée. Car, par-delà les destins brisés, ces quinze récits sont autant d’échappées de lumière.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre remarquable, admirable, inclassable. Une pièce d’orfèvrerie. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Catherine Shvets fait preuve d’une concision rare, tant elle est capable d’esquisser en quelques pages des moments puissants et évocateurs […]. Il fallait de l’audace, et on est curieux pour la suite. » Chantal Guy, La Presse

    $17.95