Préface du Dr Jean Latreille
Guérir sans guerre propose des pistes de réflexion pour reconnaître ses rêves, ses talents, son pouvoir, se réconcilier avec son passé et ses cicatrices, retrouver qui l’on est vraiment. Il incite à faire confiance au guérisseur en soi, car la santé du corps passe par la santé de la tête.
La réaction courante face au cancer est la déclaration de guerre. Johanne Ledoux a plutôt choisi de guérir sans se battre. Après six mois, il n’y avait plus de trace de la maladie. Depuis seize ans, elle partage son expérience de la guérison. En 2000, elle a rassemblé les réflexions, les perspectives, les approches qui l’ont soutenue dans sa démarche, car « le chemin parcouru par l’un peut parfois inspirer l’autre ». Pas de recettes magiques, mais une proposition quotidienne : une citation, une pensée, une intention pour alimenter le désir de guérir. Pas une solution mais un outil, un petit vade-mecum à traîner, aussi bien dans sa poche de pyjama que dans son sac à main, à la maison qu’à l’hôpital. Un bâton de pèlerin sur lequel s’appuyer, le temps d’une courte page, lorsque l’espoir menace de flancher.
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Ce qu’on en dit
« Ce livre peut donner un souffle nouveau à ceux qui ont à affronter ce terrible ennemi qu’est le cancer. » Michelle Coudé-Lord, Le Journal de Montréal
« Le livre de Johanne Ledoux est une invitation à se responsabiliser en se donnant les moyens de mettre en œuvre un processus de guérison, de sortir de la victimisation, de l’auto-violence, de la peur et des croyances mortifères. » Jacques Salomé
« Un livre simple et inspirant tout en petits tableaux, en courts récits, en beaux moments de réflexion. Un livre qui invite à plonger au cœur de soi-même et donne envie de guérir pour vivre mieux, qu’on soit malade ou non. » Suzanne Décarie, Coup de pouce
Ce qu’on en dit
« Fayne allie l’érudition de Marguerite Yourcenar et le caractère épique de Victor Hugo. Si ces deux grands écrivains avaient eu une enfant, elle s’appellerait Ann-Marie MacDonald.. » Marie-Christine Blais, journaliste culturelle
« En esquissant un univers aussi ensorcelant que perfide, Ann-Marie MacDonald se joue des codes de la société victorienne pour remettre en question le monde d’aujourd’hui, sa relation à la nature et sa construction binaire du genre. Comptez 800 captivantes pages » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
« Captivant, magnifique, drôle. » The Globe and Mail
« Splendide. Dans cette œuvre qui honore la nature, [MacDonald] marie avec talent le mystique et le scientifique, et l’illumine d’éclairs d’humour. Elle explore des thèmes intemporels tels que la confiance et la tromperie en amour et en amitié, tout en abordant les questions de genre et de sexe avec beaucoup de profondeur et de sensibilité. Au centre de tout cela, dans un décor digne d’un conte de fées, la touchante Charlotte tient les lecteurs en haleine tandis qu’elle démêle des secrets de famille enfouis au cœur des blessures intergénérationnelles […] Grâce au dénouement émouvant et poétique, l’inoubliable Fayne se glisse sous la peau comme par enchantement. » Montreal Review of Books
« Une histoire complexe de pouvoir étouffant et de normes contraignantes. […] Fayne questionne et se moque de certains fondements de la fin de l’ère victorienne : la sexualité, le genre, la classe sociale, la science. » Toronto Star
« Les sœurs Brontë, Bugs Bunny et les Beatles : On ne dirait pas que ces influences mènent à un chef-d’œuvre gothique, mais c’est pourtant ce que propose le nouveau roman d’Ann-Marie MacDonald. » The Irish Times