Auteurs
  • FAYNE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Paul Gagné

    Fin XIXe siècle. Charlotte Bell grandit à Fayne, un vaste domaine entouré d’une tourbière, situé sur un territoire contesté à la frontière de l’Écosse et de l’Angleterre. En raison de sa santé délicate, son père adoré, lord Henry Bell, la tient à l’écart de la société. Dotée d’un esprit fort et d’une curiosité insatiable, Charlotte a acquis des connaissances encyclopédiques et un savoir remarquable pour une jeune fille. Son existence idyllique est cependant assombrie par le portrait de sa mère tenant dans ses bras son frère aîné, qui lui rappelle constamment que lady Marie Bell est morte à sa naissance, et que Charles, l’héritier tant attendu, est décédé à l’âge de deux ans.

    Lorsque l’appétit d’apprendre de Charlotte menace de dépasser les limites de la lande broussailleuse, son père rompt avec la tradition et engage un précepteur d’Édimbourg, à qui il dit : « Éduquez ma fille comme vous éduqueriez mon fils, si j’en avais un. » Lors d’une promenade exploratoire, Charlotte et M. Margalo trouvent dans le marais une mante rose. Au réveil, le lendemain, l’instituteur a quitté précipitamment la maison. Pour consoler sa fille, lord Henry lui annonce que sa condition médicale n’est plus un obstacle à ce qu’elle découvre le monde extérieur. Sa soif d’instruction et d’aventures l’amènera à percer les secrets de la famille Bell et ses propres mystères.

    Une histoire pleine de rebondissements, de révélations et d’espoir, qui aborde des thèmes de l’époque victorienne toujours d’actualité : l’égalité des sexes, l’identité, la famille et la nature.

    Best-seller national n° 1 au Canada
    Livre de l’année selon The Globe and Mail
    L’un des meilleurs romans canadiens en 2022 selon CBC
    Lauréat du prix Paragraphe Hugh MacLennan de la Quebec Writers’ Federation

    Ce qu’on en dit

    « Fayne allie l’érudition de Marguerite Yourcenar et le caractère épique de Victor Hugo. Si ces deux grands écrivains avaient eu une enfant, elle s’appellerait Ann-Marie MacDonald.. » Marie-Christine Blais, journaliste culturelle

    « En esquissant un univers aussi ensorcelant que perfide, Ann-Marie MacDonald se joue des codes de la société victorienne pour remettre en question le monde d’aujourd’hui, sa relation à la nature et sa construction binaire du genre. Comptez 800 captivantes pages » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir

    « Captivant, magnifique, drôle. » The Globe and Mail

    « Splendide. Dans cette œuvre qui honore la nature, [MacDonald] marie avec talent le mystique et le scientifique, et l’illumine d’éclairs d’humour. Elle explore des thèmes intemporels tels que la confiance et la tromperie en amour et en amitié, tout en abordant les questions de genre et de sexe avec beaucoup de profondeur et de sensibilité. Au centre de tout cela, dans un décor digne d’un conte de fées, la touchante Charlotte tient les lecteurs en haleine tandis qu’elle démêle des secrets de famille enfouis au cœur des blessures intergénérationnelles […] Grâce au dénouement émouvant et poétique, l’inoubliable Fayne se glisse sous la peau comme par enchantement. » Montreal Review of Books

    « Une histoire complexe de pouvoir étouffant et de normes contraignantes. […] Fayne questionne et se moque de certains fondements de la fin de l’ère victorienne : la sexualité, le genre, la classe sociale, la science. » Toronto Star

    « Les sœurs Brontë, Bugs Bunny et les Beatles : On ne dirait pas que ces influences mènent à un chef-d’œuvre gothique, mais c’est pourtant ce que propose le nouveau roman d’Ann-Marie MacDonald. » The Irish Times

    $39.95
  • L’AIR ADULTE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Auteure jeunesse à succès, Mary Rose MacKinnon a mis de côté son œuvre pour s’occuper de ses deux jeunes enfants pendant que sa conjointe Hilary se consacre à sa carrière de metteuse en scène. Mary Rose s’efforce d’équilibrer son rôle de mère au foyer et ses devoirs envers ses parents vieillissants. Cependant, ses mésaventures de mère débordée se teintent parfois d’effroi : l’alarme de voiture qui l’agace depuis le matin est en fait la sienne, l’objet avec lequel sa toute petite s’amuse n’est autre que la paire de ciseaux la plus pointue de la maison. Avec le stress qui augmente, Mary Rose éprouve soudain les symptômes oubliés d’une maladie d’enfance qui la forcent à relire son histoire familiale. Car on ne peut passer à l’âge adulte sans avoir dénoué les blessures de l’enfance.

    Ann-Marie MacDonald nous fait vivre mille et une émotions et passer du rire à la crise existentielle avec l’esprit, l’humour et le souffle qui avaient rendu inoubliables ses deux premiers romans, Un parfum de cèdre et Le vol du corbeau. Elle conclut ainsi le triptyque très personnel que composent ces trois œuvres, éclairées d’une fulgurante lumière.

    Ce qu’on en dit

    « L’air adulte est un voyage réussi […] touchant, intelligent, dramatique, mais aussi plein d’ironie et léger comme le ballon de la couverture du roman. » Josée Lapointe, La Presse

    « Des scènes hilarantes ou déchirantes se succédant dans le même halo de tendresse. […] Éblouissant. » Monique Roy, Châtelaine

    « Avec L’air adulte, Ann-Marie MacDonald boucle un triptyque aux personnages intenses, voire plus vrais que vrais. Et un trip typique aux sources de l’être. » Diane Précourt, Le Devoir

    « Est-ce qu’on peut pardonner à ceux qui nous ont fait souffrir ? […] La question est belle et pertinente. » Monique Polak, Plus on est de fous, plus on lit !, Radio-Canada

    Actualités

    Titre de la nouvelleEn vidéo : séance de travail entre Ann-Marie MacDonald et ses traducteurs.

    $32.95
  • CHEF, OUI CHEF !

    « Je vous partage mes souvenirs, guidés par la poésie, le plaisir, et tous liés par la gourmandise et l’amitié. C’est un voyage dans le temps, teinté de liberté et assaisonné à ma façon. Une invitation à goûter la cuisine à travers l’humain. »

    De son enfance vendéenne, entre la boulangerie paternelle et l’auberge de sa grand-mère, à sa carrière internationale de grand chef renommé, Jean Soulard nous livre les savoureuses anecdotes qu’il a glanées au cours d’une vie bien remplie. Son recueil est un joyeux défilé de personnages attachants et d’animaux sympathiques : des escargots de course, la reine d’Angleterre, un poisson japonais tueur et farceur, un admirable maraîcher de Charlevoix, des poules chanteclercs qui mènent une vie de château, une Polonaise dans un kibboutz, un cochon fêtard… En bon cuisinier, il a déniché partout ce petit goût unique de la vie, toutes ces épices qui font les bonnes histoires et rendent les convives heureux !

    Illustrations Pierre-Antoine Robitaille

    Ce qu’on en dit

    « C’est savoureux, c’est tendre, c’est aimant, les portraits sont magnifiques. Vraiment, faites-vous plaisir ! » Chrystine Brouillet, Salut Bonjour

    $26.95
  • NATUROPATHIE, LE GUIDE SAISON PAR SAISON

    Le premier guide québécois, saison par saison
    Une méthode complète pour protéger et renforcer votre corps tout au long de l’année, grâce à la naturopathie.

    Retrouvez dans ce guide :
    • Les principes de base de la bonne santé en naturopathie. Définissez votre tempérament, les aliments à privilégier pour prendre soin de vos systèmes (immunitaire, digestif, respiratoire), les bonnes pratiques d’hygiène de vie à adopter au quotidien pour avoir un terrain robuste…
    • Des conseils ciblés, saison par saison. Nutriments et plantes pour prévenir tous les déséquilibres, rituels saisonniers, étirements ou encore cures d’intersaison…
    • Des fiches remèdes. En cas de petits bobos, des fiches pratiques vous indiquant comment répondre naturellement aux rhumes hivernaux, aux allergies printanières ou encore aux coups de soleil de l’été…

    loicternisien.com

    $14.95
  • LE CANNABIS EN CUISINE… CE N’EST PAS COMME DU BASILIC !

    La curiosité de Jean Soulard est à la mesure de son talent et de son savoir-faire. C’est elle qui a poussé ce chef de renom à se lancer dans l’aventure d’un livre de cuisine au cannabis. Il a voulu creuser la question pour bâtir une vraie gastronomie dans laquelle on pourrait intégrer du cannabis d’une façon éclairée. Son mot d’ordre était : « Tant qu’à le faire, faisons-le bien ! »

    Il propose un tour d’horizon de ce que l’on doit savoir, avec le point de vue de quatre éminents scientifiques et une synthèse des effets du cannabis. Il offre des recettes raffinées, de l’entrée au dessert, incluant des mets végétariens et des plats réconfortants. Il les combine pour former des menus équilibrés, où le cannabis aura sa juste dose, et les accompagne de suggestions de vin pour parfaire l’expérience de dégustation.

    Avec les contributions scientifiques de :

    Louis Gendron, Ph.D., directeur du Département de pharmacologie-physiologie de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke

    Claude Rouillard, Ph.D., professeur titulaire au Département de psychiatrie et de neurosciences de l’Université Laval

    Philippe Sarret, Ph.D., professeur à la Chaire de recherche du Canada en neurophysiopharmacologie de la douleur chronique, directeur du Réseau québécois de recherche sur la douleur, du Centre des neurosciences et codirecteur de l’Institut de pharmacologie de l’Université de Sherbrooke

    Normand Voyer, Ph.D., professeur titulaire au Département de chimie de l’Université Laval de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke

    Ce qu’on en dit

    « Il y a vraiment de très beaux plats. […] Des recettes et surtout la façon de fabriquer et de doser tout ça. Ça vaut la peine ! » Denis Lévesque, TVA

    « On peut tout dire de Jean Soulard, mais c’est un homme audacieux et qui aime se sortir de ses situations de confort. » Alain Gravel, Gravel le matin, Ici Radio-Canada Première

    « Quel beau titre pour son livre : Le cannabis en cuisine… ce n’est pas comme du basilic ! » Annie Desrochers, Le 15-18, Ici Radio-Canada Première

    « Les photos sont exceptionnelles. […] Le cannabis est présent partout sous forme d’huile ou sous forme de beurre. » Philippe Mollé, Samedi et rien d’autre, Ici Radio-Canada Première

    $39.95
  • LE VOL DU CORBEAU

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    1962. Les McCarthy forment une famille exemplaire. Jack, le père, est officier de carrière et Mimi, la mère, est une Acadienne resplendissante. Madeleine, 8 ans, croit encore que l’école est un endroit sûr et considère son grand frère Mike comme un héros. Mais la vie à la base militaire ne tarde pas à faire craquer ce vernis. Un meurtre inconcevable secoue la communauté. Jack est aux prises avec un dilemme moral insurmontable : au nom des intérêts de son pays en pleine guerre froide doit-il protéger un criminel de guerre et laisser enfermer un innocent ? Quant à Madeleine, peut-elle mentir pour faire éclater la vérité ? La lumière ne se fera que beaucoup plus tard, lorsque cette dernière, jeune femme brisée et indomptable, ira enfin jusqu’au fond des choses. En attendant, seuls les corbeaux ont vu le meurtre.

    Format semi-poche

    Ce qu’on en dit

    « Le second roman de cette surdouée, également comédienne et dramaturge, est une éblouissante saga, tragique et empathique. […] Je sais que cette histoire-là, je la porterai longtemps en moi… À souligner la qualité exceptionnelle de la traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un monde fascinant d’où l’on a peine à s’arracher. » Danielle Laurin, L’actualité

    « L’une des réussites du roman tient à sa description, de l’intérieur, du monde de l’enfance. […] Il faut dire qu’elle (Ann-Marie MacDonald) possède le don de rendre les décors et les personnages réels, grâce à son écriture évocatrice. » Marie Labrecque, Le Devoir

    $24.95
  • LE VOL DU CORBEAU

    Traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    1962. Les McCarthy rentrent au pays et s’installent à Centralia, dans le sud de l’Ontario. Ils forment une famille exemplaire. Jack, le père, est officier de carrière et Mimi, la mère, est une Acadienne resplendissante. Madeleine, 8 ans, croit encore que l’école est un des endroits les plus sûrs qui soient. Mike, 12 ans, est le héros de sa petite sœur. Mais la vie à la base militaire ne tardera pas à faire craquer ce vernis. Un meurtre inconcevable secoue la communauté. L’officier Jack se trouve confronté à un dilemme moral insurmontable : au nom des intérêts de son pays en pleine guerre froide doit-il protéger un criminel de guerre et laisser enfermer un innocent ? Quant à Madeleine, peut-elle mentir pour faire éclater la vérité ? La lumière ne se fera que plus tard, beaucoup plus tard, lorsque cette dernière, jeune femme brisée et indomptable, ira enfin jusqu’au fond des choses. En attendant, seuls les corbeaux ont vu le meurtre.

    Réédition, format semi-poche

    Ce qu’on en dit

    « Le second roman de cette surdouée, également comédienne et dramaturge, est une éblouissante saga, tragique et empathique. […] Je sais que cette histoire-là, je la porterai longtemps en moi… À souligner la qualité exceptionnelle de la traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un monde fascinant d’où l’on a peine à s’arracher. » Danielle Laurin, L’actualité

    « L’une des réussites du roman tient à sa description, de l’intérieur, du monde de l’enfance. […] Il faut dire qu’elle (Ann-Marie MacDonald) possède le don de rendre les décors et les personnages réels, grâce à son écriture évocatrice. » Marie Labrecque, Le Devoir

    $24.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 :livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $19.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format semi-poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant. » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $22.95