Traduit de l’anglais (Canada) par Rachel Martinez
Anna et Jane McGarrigle, les sœurs de Kate, tantes de Rufus et de Martha Wainwright, racontent l’histoire de la famille de musiciens la plus talentueuse qui soit : un clan qui rythme nos vies depuis cinquante ans. Évoquant les aventures de leurs ancêtres entre Saint John (N.-B.) et Montréal, elles se remémorent leur enfance à Saint-Sauveur et leur adolescence tumultueuse dans le Québec des années 1950. Elles nous entraînent à Montréal, New York, San Francisco, sur les scènes bigarrées de la musique folk des années 1960 ; pour aboutir à l’inoubliable duo formé par Kate et Anna. Aussi hommage à Kate, décédée en 2010, l’ouvrage permet de cerner la personnalité de cette artiste exceptionnelle. Émaillé de chansons et de photos, ce récit prolonge l’œuvre de ces femmes libres.
Cahier photos
Ce qu’on en dit
« Une saga familiale, la jeunesse de trois femmes incroyables, des tranches de l’histoire canadienne : ce livre est un triple régal. Ajoutez la musique et l’humour, c’est formidable. Merci, ladies, vous vous êtes surpassées ! » Rufus Wainwright
« Kate et Anna McGarrigle habitaient Saint-Sauveur, mais c’est dans le Vieux-Montréal qu’on a eu nos premiers éclats de rire, autour d’un piano et d’une guitare. […] C’est un bonheur de faire partie de cette famille où règne l’amour de la musique. » Robert Charlebois
« Un récit magnifique. […] Merci pour la mémoire ! » Monique Giroux, Chants libres à Monique, Ici Musique
« Deux femmes généreuses dotées d’un extraordinaire sens de l’humour et d’un don pour raconter les histoires. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec
« On sent qu’elles ont mis beaucoup de cœur dans ce livre. […] On entend l’époque ! » Franco Nuovo, Dessine-moi un dimanche, Ici Radio-Canada Première
Ce qu’on en dit
« Fayne allie l’érudition de Marguerite Yourcenar et le caractère épique de Victor Hugo. Si ces deux grands écrivains avaient eu une enfant, elle s’appellerait Ann-Marie MacDonald.. » Marie-Christine Blais, journaliste culturelle
« En esquissant un univers aussi ensorcelant que perfide, Ann-Marie MacDonald se joue des codes de la société victorienne pour remettre en question le monde d’aujourd’hui, sa relation à la nature et sa construction binaire du genre. Comptez 800 captivantes pages » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
« Captivant, magnifique, drôle. » The Globe and Mail
« Splendide. Dans cette œuvre qui honore la nature, [MacDonald] marie avec talent le mystique et le scientifique, et l’illumine d’éclairs d’humour. Elle explore des thèmes intemporels tels que la confiance et la tromperie en amour et en amitié, tout en abordant les questions de genre et de sexe avec beaucoup de profondeur et de sensibilité. Au centre de tout cela, dans un décor digne d’un conte de fées, la touchante Charlotte tient les lecteurs en haleine tandis qu’elle démêle des secrets de famille enfouis au cœur des blessures intergénérationnelles […] Grâce au dénouement émouvant et poétique, l’inoubliable Fayne se glisse sous la peau comme par enchantement. » Montreal Review of Books
« Une histoire complexe de pouvoir étouffant et de normes contraignantes. […] Fayne questionne et se moque de certains fondements de la fin de l’ère victorienne : la sexualité, le genre, la classe sociale, la science. » Toronto Star
« Les sœurs Brontë, Bugs Bunny et les Beatles : On ne dirait pas que ces influences mènent à un chef-d’œuvre gothique, mais c’est pourtant ce que propose le nouveau roman d’Ann-Marie MacDonald. » The Irish Times