Auteurs
  • DES GLAÇONS COMME DU VERRE

    Quand il croise Belle à la manufacture de raquettes où il travaille, Henri devine qu’elle sera la femme de sa vie, mais pas tout de suite. Il est Huron, elle est beauceronne. La musique les unira en leur temps. De leur mariage naîtront cinq garçons et cinq filles. Leur vie, rythmée par les saisons et le territoire, sera bousculée par la maladie et les déchirements à une époque où le ministère des Affaires indiennes avait le bras trop long au sein des communautés autochtones. À coup d’espoir, même fragile comme du verre, se brisant parfois en mille morceaux, Liliane, l’aînée, se battra pour protéger sa fratrie et trouver le chemin de la vérité.

    Isabelle Picard s’est inspirée de son histoire familiale, ancrée dans un épisode troublant de l’histoire canadienne : la rafle des années soixante, ou l’enlèvement à grande échelle d’enfants autochtones au Canada à partir de 1951. Ce roman bouleversant dresse avec pudeur et nuance le portrait lumineux de trois générations désunies par la force, mais déterminées à prouver que les liens du sang, surtout ceux de l’âme, peuvent transcender les déchirures du passé.

    $29.95
  • FAYNE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Paul Gagné

    Fin XIXe siècle. Charlotte Bell grandit à Fayne, un vaste domaine entouré d’une tourbière, situé sur un territoire contesté à la frontière de l’Écosse et de l’Angleterre. En raison de sa santé délicate, son père adoré, lord Henry Bell, la tient à l’écart de la société. Dotée d’un esprit fort et d’une curiosité insatiable, Charlotte a acquis des connaissances encyclopédiques et un savoir remarquable pour une jeune fille. Son existence idyllique est cependant assombrie par le portrait de sa mère tenant dans ses bras son frère aîné, qui lui rappelle constamment que lady Marie Bell est morte à sa naissance, et que Charles, l’héritier tant attendu, est décédé à l’âge de deux ans.

    Lorsque l’appétit d’apprendre de Charlotte menace de dépasser les limites de la lande broussailleuse, son père rompt avec la tradition et engage un précepteur d’Édimbourg, à qui il dit : « Éduquez ma fille comme vous éduqueriez mon fils, si j’en avais un. » Lors d’une promenade exploratoire, Charlotte et M. Margalo trouvent dans le marais une mante rose. Au réveil, le lendemain, l’instituteur a quitté précipitamment la maison. Pour consoler sa fille, lord Henry lui annonce que sa condition médicale n’est plus un obstacle à ce qu’elle découvre le monde extérieur. Sa soif d’instruction et d’aventures l’amènera à percer les secrets de la famille Bell et ses propres mystères.

    Une histoire pleine de rebondissements, de révélations et d’espoir, qui aborde des thèmes de l’époque victorienne toujours d’actualité : l’égalité des sexes, l’identité, la famille et la nature.

    Best-seller national n° 1 au Canada
    Livre de l’année selon The Globe and Mail
    L’un des meilleurs romans canadiens en 2022 selon CBC
    Lauréat du prix Paragraphe Hugh MacLennan de la Quebec Writers’ Federation

    Ce qu’on en dit

    « Fayne allie l’érudition de Marguerite Yourcenar et le caractère épique de Victor Hugo. Si ces deux grands écrivains avaient eu une enfant, elle s’appellerait Ann-Marie MacDonald.. » Marie-Christine Blais, journaliste culturelle

    « En esquissant un univers aussi ensorcelant que perfide, Ann-Marie MacDonald se joue des codes de la société victorienne pour remettre en question le monde d’aujourd’hui, sa relation à la nature et sa construction binaire du genre. Comptez 800 captivantes pages » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir

    « Captivant, magnifique, drôle. » The Globe and Mail

    « Splendide. Dans cette œuvre qui honore la nature, [MacDonald] marie avec talent le mystique et le scientifique, et l’illumine d’éclairs d’humour. Elle explore des thèmes intemporels tels que la confiance et la tromperie en amour et en amitié, tout en abordant les questions de genre et de sexe avec beaucoup de profondeur et de sensibilité. Au centre de tout cela, dans un décor digne d’un conte de fées, la touchante Charlotte tient les lecteurs en haleine tandis qu’elle démêle des secrets de famille enfouis au cœur des blessures intergénérationnelles […] Grâce au dénouement émouvant et poétique, l’inoubliable Fayne se glisse sous la peau comme par enchantement. » Montreal Review of Books

    « Une histoire complexe de pouvoir étouffant et de normes contraignantes. […] Fayne questionne et se moque de certains fondements de la fin de l’ère victorienne : la sexualité, le genre, la classe sociale, la science. » Toronto Star

    « Les sœurs Brontë, Bugs Bunny et les Beatles : On ne dirait pas que ces influences mènent à un chef-d’œuvre gothique, mais c’est pourtant ce que propose le nouveau roman d’Ann-Marie MacDonald. » The Irish Times

    $39.95
  • L’AIR ADULTE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Auteure jeunesse à succès, Mary Rose MacKinnon a mis de côté son œuvre pour s’occuper de ses deux jeunes enfants pendant que sa conjointe Hilary se consacre à sa carrière de metteuse en scène. Mary Rose s’efforce d’équilibrer son rôle de mère au foyer et ses devoirs envers ses parents vieillissants. Cependant, ses mésaventures de mère débordée se teintent parfois d’effroi : l’alarme de voiture qui l’agace depuis le matin est en fait la sienne, l’objet avec lequel sa toute petite s’amuse n’est autre que la paire de ciseaux la plus pointue de la maison. Avec le stress qui augmente, Mary Rose éprouve soudain les symptômes oubliés d’une maladie d’enfance qui la forcent à relire son histoire familiale. Car on ne peut passer à l’âge adulte sans avoir dénoué les blessures de l’enfance.

    Ann-Marie MacDonald nous fait vivre mille et une émotions et passer du rire à la crise existentielle avec l’esprit, l’humour et le souffle qui avaient rendu inoubliables ses deux premiers romans, Un parfum de cèdre et Le vol du corbeau. Elle conclut ainsi le triptyque très personnel que composent ces trois œuvres, éclairées d’une fulgurante lumière.

    Ce qu’on en dit

    « L’air adulte est un voyage réussi […] touchant, intelligent, dramatique, mais aussi plein d’ironie et léger comme le ballon de la couverture du roman. » Josée Lapointe, La Presse

    « Des scènes hilarantes ou déchirantes se succédant dans le même halo de tendresse. […] Éblouissant. » Monique Roy, Châtelaine

    « Avec L’air adulte, Ann-Marie MacDonald boucle un triptyque aux personnages intenses, voire plus vrais que vrais. Et un trip typique aux sources de l’être. » Diane Précourt, Le Devoir

    « Est-ce qu’on peut pardonner à ceux qui nous ont fait souffrir ? […] La question est belle et pertinente. » Monique Polak, Plus on est de fous, plus on lit !, Radio-Canada

    Actualités

    Titre de la nouvelleEn vidéo : séance de travail entre Ann-Marie MacDonald et ses traducteurs.

    $32.95
  • NINANIMISHKEN : JE MARCHE CONTRE LE VENT

    Issu d’un peuple nomade, Florent Vollant a déroulé sa vie en marchant aux côtés de Justin Kingsley. Le livre s’articule autour de trois périodes d’isolement : le pensionnat à 5 ans, la prison à 18 ans, l’hôpital à 61 ans. Ce récit chuchoté, imprégné des images et mythes de sa culture innue millénaire, offre un témoignage poignant sur les pensionnats et les conséquences de la délocalisation forcée dans les réserves. Un petit xylophone et une chorale ouvriront les portes de la musique à cet élève brillant, aux prises avec une quête d’identité qui marquera l’homme et l’artiste en devenir. Si Florent s’est toujours trouvé face au vent, souvent happé par les tornades (kastin, en innu), les leçons qu’il en a tirées lui ont permis d’avancer. Il nous révèle ses valeurs fondamentales, confie ses amitiés musicales avec les trois Richard (Richard Séguin, Richard Desjardins et Zachary Richard) et sa relation tumultueuse avec Claude McKenzie, avec qui il a formé le duo Kashtin, premier groupe autochtone de renommée internationale. Ardent défenseur de la nature, ambassadeur des Premières Nations et mentor auprès des jeunes, Florent Vollant souhaite, avec ce livre notamment, contribuer à la réconciliation des peuples.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre généreux. Un livre essentiel. […] Il y a des images qui nous bouleversent et qui nous habitent longtemps après la lecture. » Émilie Perreault, Il restera toujours la culture, ICI Radio-Canada Première

    « Florent, j’ai appris plein de choses dans votre livre. […] Il y a des passages très émouvants. » Sophie Durocher, QUB radio (balado)

    « Florent Vollant raconte sa vie, sa famille, son enfance, ses bonheurs, ses écueils, ses réussites et ses bouts de vie difficiles dans un livre à lire absolument. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    $29.95
  • LE LIVRE DU DON

    Communicateur hors pair, Justin Kingsley s’est intéressé durant toute une année à la place et aux formes du don dans la société actuelle. Animé par la conviction que de précieuses vérités se cachent dans nos histoires très personnelles et uniques, il a interviewé des amis, un champion olympique, une rescapée du génocide rwandais ou même une dame assise près de lui dans l’avion. Son livre compose un récit percutant, souvent touchant, parfois désopilant et, par certains aspects, un peu choquant. Derrière le geste simple, universel et si humain de donner se profilent mille et un sentiments complexes. Car la beauté de l’acte n’exclut pas sa difficulté : donner, c’est recevoir, mais c’est aussi renoncer à une forme de réciprocité. On y croise une multitude de visages qui nous confient leurs histoires : donner la vie ou donner la mort ; offrir sa virginité ou sa bénédiction ; planifier ou questionner son don ; transmettre au suivant un café ou une robe de mariée. Sans jamais sombrer dans le pessimisme ou le cynisme, l’auteur déboulonne nos idées préconçues sur la bonté, la générosité et l’altruisme dans cet ouvrage dont pas un mot n’a été inventé.

    Ce qu’on en dit

    « On peut tous faire un don significatif, on peut tous changer les choses. C’est un peu ça que le livre nous laisse… », Jhade Montpetit, Les malins, R.-C. Ottawa

    « Il y a toutes sortes de façons de donner et je suis certaine que ce livre-là va vous transformer. » Isabelle Racicot, Canal Vie

    « 26 histoires de gens qui se donnent de différentes manières. » Fabrice Vil, Entrée principale, R.-C.

    $24.95
  • GSP : LE SENS DU COMBAT

    Avec Justin Kingsley

    Traduit de l’anglais (Canada) par Rachel Martinez

    Le plus grand atout du Québécois Georges St-Pierre n’est ni sa force ni ses qualités athlétiques, mais plutôt sa profonde détermination. Il a découvert le karaté alors qu’il n’était qu’un petit garçon victime d’intimidation et, par la suite, il n’a jamais abandonné son ambition de devenir le plus grand athlète en arts martiaux mixtes de tous les temps. GSP a gravi un à un les échelons. Après avoir acquis une renommée internationale à titre de champion de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), il a été contraint de quitter l’arène pour guérir d’une grave blessure. Comme toutes celles qu’il a dû surmonter, cette épreuve, qui aurait pu anéantir sa carrière, lui a surtout appris à voir en chaque obstacle une occasion de forger son caractère.

    Selon Georges St-Pierre, la vie dans son ensemble est une compétition et il n’en existe pas de métaphore plus éloquente que le parcours d’un combattant. Dans son ouvrage, il explique à cœur ouvert la valeur de la discipline, du risque et même de la peur avec la sagesse d’un homme qui sait que rien n’est acquis : le prochain combat pourrait toujours être le dernier. Il s’inspire de la philosophie orientale, d’athlètes légendaires et d’un cercle restreint de gens de confiance. Éclairé en contrepoint par leur regard, ce livre est un guide qui pourrait transformer la vie du lecteur et l’aider à trouver des moyens d’atteindre ses objectifs les plus ambitieux.

    Postface de Justin

    Ce qu’on en dit

    « Le livre sur les réflexions de Georges St-Pierre est exceptionnel. […] Avec des anecdotes qui rendent le tout passionnant. »
    Réjean Tremblay, Le Journal de Montréal

    « GSP le guerrier se dévoile. » Diane Sauvé, Radio-Canada

    « Le sens du combat raconte le long chemin qui l’a mené au sommet : l’intimidation, la pauvreté, la détermination. » Gabriel Béland, La Presse

    $29.95
  • LE VOL DU CORBEAU

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    1962. Les McCarthy forment une famille exemplaire. Jack, le père, est officier de carrière et Mimi, la mère, est une Acadienne resplendissante. Madeleine, 8 ans, croit encore que l’école est un endroit sûr et considère son grand frère Mike comme un héros. Mais la vie à la base militaire ne tarde pas à faire craquer ce vernis. Un meurtre inconcevable secoue la communauté. Jack est aux prises avec un dilemme moral insurmontable : au nom des intérêts de son pays en pleine guerre froide doit-il protéger un criminel de guerre et laisser enfermer un innocent ? Quant à Madeleine, peut-elle mentir pour faire éclater la vérité ? La lumière ne se fera que beaucoup plus tard, lorsque cette dernière, jeune femme brisée et indomptable, ira enfin jusqu’au fond des choses. En attendant, seuls les corbeaux ont vu le meurtre.

    Format semi-poche

    Ce qu’on en dit

    « Le second roman de cette surdouée, également comédienne et dramaturge, est une éblouissante saga, tragique et empathique. […] Je sais que cette histoire-là, je la porterai longtemps en moi… À souligner la qualité exceptionnelle de la traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un monde fascinant d’où l’on a peine à s’arracher. » Danielle Laurin, L’actualité

    « L’une des réussites du roman tient à sa description, de l’intérieur, du monde de l’enfance. […] Il faut dire qu’elle (Ann-Marie MacDonald) possède le don de rendre les décors et les personnages réels, grâce à son écriture évocatrice. » Marie Labrecque, Le Devoir

    $24.95
  • LE VOL DU CORBEAU

    Traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    1962. Les McCarthy rentrent au pays et s’installent à Centralia, dans le sud de l’Ontario. Ils forment une famille exemplaire. Jack, le père, est officier de carrière et Mimi, la mère, est une Acadienne resplendissante. Madeleine, 8 ans, croit encore que l’école est un des endroits les plus sûrs qui soient. Mike, 12 ans, est le héros de sa petite sœur. Mais la vie à la base militaire ne tardera pas à faire craquer ce vernis. Un meurtre inconcevable secoue la communauté. L’officier Jack se trouve confronté à un dilemme moral insurmontable : au nom des intérêts de son pays en pleine guerre froide doit-il protéger un criminel de guerre et laisser enfermer un innocent ? Quant à Madeleine, peut-elle mentir pour faire éclater la vérité ? La lumière ne se fera que plus tard, beaucoup plus tard, lorsque cette dernière, jeune femme brisée et indomptable, ira enfin jusqu’au fond des choses. En attendant, seuls les corbeaux ont vu le meurtre.

    Réédition, format semi-poche

    Ce qu’on en dit

    « Le second roman de cette surdouée, également comédienne et dramaturge, est une éblouissante saga, tragique et empathique. […] Je sais que cette histoire-là, je la porterai longtemps en moi… À souligner la qualité exceptionnelle de la traduction de Lori Saint-Martin et Paul Gagné. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un monde fascinant d’où l’on a peine à s’arracher. » Danielle Laurin, L’actualité

    « L’une des réussites du roman tient à sa description, de l’intérieur, du monde de l’enfance. […] Il faut dire qu’elle (Ann-Marie MacDonald) possède le don de rendre les décors et les personnages réels, grâce à son écriture évocatrice. » Marie Labrecque, Le Devoir

    $24.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 :livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $19.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format semi-poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant. » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $22.95