Traduit de l’allemand par Mère Marie des Anges Cayeux, o.p., Père Jean Landousies, c.m., et Mgr Jean-Marie Speich
L’enfance de Jésus est le dernier volet, très accessible, qui complète l’œuvre maîtresse de Joseph Ratzinger–Benoît XVI, Jésus de Nazareth. « Ce livre se veut une porte d’entrée à mes deux précédents ouvrages consacrés à la figure et au message de Jésus de Nazareth.
J’ai cherché à interpréter, en dialoguant avec des exégètes d’hier et d’aujourd’hui, ce que Matthieu et Luc racontent, au début de leurs Évangiles, sur l’enfance de Jésus.
Une interprétation juste, selon moi, requiert deux étapes. D’abord, il faut se demander ce qu’ont voulu dire, à leur époque, les auteurs de ces textes – c’est la composante historique de l’exégèse. Mais il ne faut pas laisser le texte dans le passé. La seconde question doit être : “Ce qui est dit est-il vrai ? Cela me regarde-t-il ? Et si cela me regarde, de quelle façon ?”
Je suis bien conscient que toute interprétation reste en deçà de la grandeur du texte biblique. J’espère que ce petit livre, malgré ses limites, pourra aider de nombreuses personnes dans leur chemin vers et avec Jésus. »
Ce qu’on en dit
« Une plume alerte, un style moderne, une vraie liberté d’esprit et, surtout, une profonde intelligence. Ce qui donne une grande clarté à son propos. Ce livre mérite d’être lu. » L’Express
« C’est avec une remarquable intelligence qu’il repose un problème clef de la théologie contemporaine : comment accorder le message des Évangiles et celui des sciences historiques. » Luc Ferry
Ce qu’on en dit
« Fayne allie l’érudition de Marguerite Yourcenar et le caractère épique de Victor Hugo. Si ces deux grands écrivains avaient eu une enfant, elle s’appellerait Ann-Marie MacDonald.. » Marie-Christine Blais, journaliste culturelle
« En esquissant un univers aussi ensorcelant que perfide, Ann-Marie MacDonald se joue des codes de la société victorienne pour remettre en question le monde d’aujourd’hui, sa relation à la nature et sa construction binaire du genre. Comptez 800 captivantes pages » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
« Captivant, magnifique, drôle. » The Globe and Mail
« Splendide. Dans cette œuvre qui honore la nature, [MacDonald] marie avec talent le mystique et le scientifique, et l’illumine d’éclairs d’humour. Elle explore des thèmes intemporels tels que la confiance et la tromperie en amour et en amitié, tout en abordant les questions de genre et de sexe avec beaucoup de profondeur et de sensibilité. Au centre de tout cela, dans un décor digne d’un conte de fées, la touchante Charlotte tient les lecteurs en haleine tandis qu’elle démêle des secrets de famille enfouis au cœur des blessures intergénérationnelles […] Grâce au dénouement émouvant et poétique, l’inoubliable Fayne se glisse sous la peau comme par enchantement. » Montreal Review of Books
« Une histoire complexe de pouvoir étouffant et de normes contraignantes. […] Fayne questionne et se moque de certains fondements de la fin de l’ère victorienne : la sexualité, le genre, la classe sociale, la science. » Toronto Star
« Les sœurs Brontë, Bugs Bunny et les Beatles : On ne dirait pas que ces influences mènent à un chef-d’œuvre gothique, mais c’est pourtant ce que propose le nouveau roman d’Ann-Marie MacDonald. » The Irish Times