Illustrations de Lison Bernet
Le terrain de jeu du prof Durand est d’explorer les idées extravagantes du monde scientifique moderne. À l’émission Les années lumière, sur ICI Radio-Canada Première, il s’est fait une spécialité d’exposer les prédictions qui dépassent notre imagination. Parmi celles-ci, la possibilité de voyager dans le futur, d’augmenter sa créativité sur commande ou d’apprendre le karaté en trois minutes… Existe-t-il des milliards d’univers ? La super-intelligence sera-t-elle le plus grand risque de l’humanité ? Se pourrait-il que l’on vive dans une simulation ? Ludique, réjouissant et même un peu troublant, cet ouvrage met à la portée de tous les curieux des théories qui n’ont rien de gratuit, puisqu’elles sont toutes scientifiquement possibles.
Ce qu’on en dit
« Le vulgarisateur, avec le sourire, soulève une hypothèse physique ou neuroscientifique audacieuse et en évalue la plausibilité avec rigueur. » Louis Cornellier, Le Devoir
« On n’est pas dans la science-fiction ! [Stéphane Durand] s’intéresse à cette science-là qui nous semble complètement loufoque ou futuriste. » Annie Desrochers, Samedi et rien d’autre, ICI Radio-Canada Première
« Un livre-choc qui risque fort de faire bien des étincelles ! » Karine Vilder, Le Journal de Montréal
« Tous les curieux des théories vont se réjouir de cet ouvrage qui montre qu’elles sont toutes scientifiquement possibles. Stéphane Durand sait de quoi il parle. » Anne Bourgoin, 7 jours
Ce qu’on en dit
« Il y a de fortes chances que cet objet étrange et percutant devienne un film culte. » Nathalie Petrowski, La Presse
« On n’avait pas vu un film québécois aussi artistiquement et intellectuellement ambitieux depuis des lustres. » Chantal Guy, Le Soleil
« Le film dérange et bouscule, et le livre est un complément utile à la compréhension du message. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal
« Le scénario déborde le Printemps érable, englobant l’idée même de révolte et certaines critiques de la société québécoise, de la complaisance et des pièges de la modernité. » T’cha Dunlevy, Montreal Gazette