Auteurs
  • RÉPARER LE MONDE

    Est-ce que tout part véritablement de soi ?

    Au cours d’une mission à l’étranger, des soldats sont abattus par leurs frères d’armes. Une bavure militaire. Ironie du sort, l’unique survivant est Jérémy Péan, 25 ans, qui s’était pourtant enrôlé pour en finir avec la vie. Fait prisonnier par le plus grand criminel de la planète, Jérémy voit apparaître dans sa cellule une silhouette assise dans la position du lotus. C’est Sacha, le jeune fils du dictateur, qui lui enseignera les leçons d’Un cours en miracles. Sacha veut « réparer » Jérémy, et le monde avec lui. Mais qu’est-ce au juste qu’un miracle ? Un changement de la perception, une correction de la pensée. Et si c’était simplement voir à travers l’amour du cœur et non à travers la peur de l’ego ? Commence alors la transformation de l’esprit de Jérémy.

    Pour la première fois, une romancière met en scène Un cours en miracles et raconte l’histoire d’une métamorphose.

    Ce qu’on en dit

    « A.B. Winter sait exactement comment décortiquer les travers du monde contemporain. […] Philosophie, action suspense : il y a un peu de tout dans le roman. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « Ce livre contient de puissantes leçons de vie. A.B. Winter pourrait non seulement changer notre perception de la vie, mais nous éveiller au miracle. C’est le genre d’enseignement que l’on voudrait que tout le monde reçoive. » Christine Michaud

    « Un conte philosophique comme sait si bien les écrire A.B. Winter. » Anne Bourgoin, 7 Jours

    « Un beau roman ! » Nathalie Roy, Salut, Bonjour ! Week-end, TVA

    $26.95
  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

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  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

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